LEGISLATIVE 2012

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Ø      les pages de ce site : « ELECTION : Présidentielle 2012 »

Ø       www.bayrou.fr/

Deux députés MODEM à l’Assemblée Nationale

ð      Jean LASSALLE,        4^ème circonscription des Pyrénées-Atlantiques 

ð      Thierry ROBERT,       7^ème  circonscription de la Réunion 

                                                             
  

Nombre de siège(s) à pourvoir : 577

Nombre Total d'élus : 577

LES RESULTATS PAR

                              => Départements

                                                =>  Circonscriptions

                                                                              =>   Communes

Cliquez sur le lien du Ministère de l’Intérieur, ci-dessous :
                                                                                            http://elections.interieur.gouv.fr/LG2012/

.                                                                                                                                                                                                                                       .

au second tour des élections législatives !

La subtilité de notre mouvement MODEM, d’élaborer dans le schéma général de la gouvernance politique alliée d’une force centrale pour notre pays associant « Valeurs » « Indépendance » et « Démocratie » dans un même enthousiasme, ne furent pas bien comprises dans l’opinion publique.

A cela, les élections législatives étant plus ou moins perçues d’une priorité par l’électorat, à la cacophonie ambiante et surtout des combats de chefs (petits ou/et grands) dans le concert qui anime la soirée de l’élection et qui laisse l’œuvre de l’amertume et de la revanche. Alors que le pays attend de l’apaisement, la sérénité et le grand projet d’avenir. Cette projection dans le futur qui nous est proche et lointaine  

Les propositions du Centre pour la France aux élections législatives portées dans 400 circonscriptions par ses candidats, sept d'entre eux sont en capacité de se maintenir au second tour, permettant d'espérer autant de députés à l'Assemblée nationale pour asseoir la volonté des électeurs ayant fait le choix MODEM. Ainsi sont en lice pour l’hémicycle parlementaire :

ð      François BAYROU,    2^ème circonscription des Pyrénées-Atlantiques

ð      Gilles ARTIGUES,       1^ère  circonscription de la Loire 

ð      Nassimah DINDAR,    1^ère circonscription de la Réunion

ð      Philippe FOLLIOT,      1^ère circonscription du Tarn

ð      Jean LASSALLE,        4^ème circonscription des Pyrénées-Atlantiques 

ð      Thierry ROBERT,        7^ème  circonscription de la Réunion 

ð      Rodolphe THOMAS,     2^ème circonscription du Calvados 

Donner de la voix au MODEM et d’y instaurer dans le paysage politique, la vision d’un centre fort, car vous êtes comme nous convaincus qu'un Centre libre et indépendant est vital à la démocratie de notre pays. Ces femmes et ces hommes pouvant prétendre à la députation ont besoin de tout le soutien requis. Nous vous remercions de tout cœur pour cet engagement concret qui est le vôtre et, s’est manifesté lors de ces dernières élections (présidentielle et législatives).

Nombre de siège(s) à pourvoir : 577

Nombre Total d'élus : 36

.                           LE  CENTRE  POUR  LA  FRANCE                           .

Election législative, les dimanches 10 et 17 juin 2012

Et on a besoin à l’Assemblée Nationale des voix libres, indépendantes
                                                                                                                        Une force centrale

LORRAINE                                                                                                                                   Circonscription

Ø       Meurthe et Moselle

§       Danièle NOEL                                                  1

§       Marc SAINT DENIS                                          2

§       Hervé BROSSEAU                                           5

Ø       Moselle

§       Christine SINGER                                             1

§       Marjorie GOUJON                                             2

§       Agnès MIGAUD                                                 3

§       Francis SCHMITT                                              6

§       Frédéric DI  EGIDIO                                           8

Ø       Vosges

§       Bertrand PARMENTIER                                     1

§       Jessica HENRIOT                                              2

§       François GREMILLET                                        3

§       Jocelyne ALLANE                                              4

ALSACE

Ø       Bas Rhin

§       Jean-Marcel BRUTE                                          1

§       Pascale TUSSING                                             2

§       Mathilde KARCELES                                         3

§       Frédéric LE JEHAN                                           4

§       Michel GILARDEAU                                           5

§       Anne-Sophie FRELIGER                                    6

§       Pierre SCHWEITZER                                         7

Ø       Haut Rhin

§       Yves BAUMULLER                                            1

§       Alexandra HARTEMANN                                   3

§       Emmanuelle SUAREZ                                       5

§       Régis BASCHUNG                                            6

L’élection présidentielle de mai 2012 a révélé cinq grands courants politiques avec leurs différentes singularités dans le champs politique français : le Centre (MODEM), le Front de Gauche (FG), le Front National (FN), le Partis Socialiste (PS), l’Union pour un Mouvement Populaire (UMP). Il est démocratiquement louable que toutes les formations politiques et donc représentantes des opinions populaires soient présentes et actives au sein même de l’hémicycle parlementaire. 

François Bayrou  a présenté la démarche des candidats du Centre aux élections législatives des 10 et 17 juin. Les candidats ne seront pas les hommes et les femmes d'un camp, mais les hommes et les femmes d'un pays et d'un peuple. Ils se présenteront sous l'étiquette "Le Centre pour la France" et auront un mot d'ordre : "Nous voulons être utiles à la France, pour qu'elle échappe à ses divisions".

                     Je vous invite à découvrir sa déclaration en cliquant ici.

"Nous serons présents dans l’ensemble des départements français, avec des gens d’horizons diverses qui nous ont rejoints, des gens qui incarnent le centre, le centre droit et le centre-gauche. Nous avons également eu l'attention particulière, malgré l’ambiance générale, de faire des gestes nous aussi en direction de ceux qui ont envie de construire cet espace, malgré les difficultés dans lesquelles on peut se trouver. Il y a ainsi des départements où nous travaillons avec d’autres formations issues du centre, pour faire en sorte que cet espace s’élargisse", a détaillé le secrétaire général du Mouvement Démocrate. Cette volonté "de créer un espace clair au centre de la vie politique française" implique "qu'aucun soutien n'est apporté à des candidats de l’UMP ou du PS".

Le label le 'Centre pour la France' se veut large, au-delà des simples personnes qui sont membres ou sympathisantes du Mouvement Démocrate, qui ont envie de se retrouver autour de valeurs et d'objectifs communs",  Le label "Le Centre pour la France" regroupe près de 400 candidats,

UNE FORCE LIBRE ET INDEPENDANTE,  UNE FORCE CENTRALE

S’il trouve en face de lui une opposition agressive et systématique, qui fera feu de tout bois, a fortiori une cohabitation de blocage, il n’existe aucune chance que le pays puisse se redresser. Je suis persuadé que les Français ne veulent pas d’une opposition frontale et systématique pour la période qui s’ouvre. Ils ont envie de gens, même différents, mais réunis qui fassent avancer les choses. C’est dans cette volonté que nous nous inscrivons.

Il faut au Parlement un courant politique nouveau qui soit à la fois indépendant et positif. Il faut un courant politique qui dise non à la participation complaisante, non à l’opposition de principe, et oui à l’esprit de responsabilité et d’unité nationale.

 
Il faut un courant politique qui ne cherche pas l’échec des gouvernants, mais le succès de la France dans les immenses difficultés qu’elle va rencontrer. Des gens qui ne s’en laissent pas compter, qui ne se laissent pas influencer par les intérêts partisans. Et cette force ne peut être qu’au Centre.

Je dis au centre. Pour la première fois, un vrai centre peut exister. Jusqu’à maintenant, le centre ne se concevait qu’à droite. Jamais, depuis des années, il n’avait pu faire la preuve d’une vraie indépendance, d’une vraie liberté de décision, fondée non pas sur des arrière-pensées, mais sur le plus profond de son engagement.

Or pour qu’un vrai centre existe, il faut qu’il réunisse des femmes et des hommes qui assument leur diversité et ne soient pas toujours du même côté de cette barrière imaginaire qui séparerait les Français.

J’ai beaucoup d’amis qui ont voté Sarkozy et appelé à voter pour lui. Je considère qu’ils en avaient le droit. J’ai des amis qui ont voté blanc. Je considère qu’ils en avaient le droit. Beaucoup d’entre nous aussi ont voté Hollande et moi avec eux.

Ils n’ont pas à être accusés de leur vote. Ils en avaient le droit élémentaire comme citoyens. Aucun contrat, aucune dépendance ne doit empêcher un citoyen d’émettre le vote qu’il considère juste.

Et c’est en acceptant cette diversité, en réunissant ceux qui ont fait des choix de deuxième tour différents, et heureusement, que nous créerons le pôle central libre dont la France a besoin. C’est un grand changement.

La création d’une force centrale et libre dans la vie politique française, là est la seule nouveauté, et le seul changement possible. Et cette force centrale qui accepte et veut voir réunies les sensibilités différentes du centre, ceux qui ont voté d’un côté et ceux qui ont voté de l’autre, un pôle qui non seulement accepte la diversité mais la souhaite, c’est la garantie que pour la première fois, un courant refusera le sectarisme, les réflexes de clan, tout pour ou tout contre, toujours pour ou toujours contre !

Au travers des candidats de cette force centrale, pourront s’exprimer tous ceux qui éprouvent un malaise devant la volonté de monopole de l’UMP et du PS. Et je les ai rencontrés, les gaullistes, les sociaux démocrates, les sensibilités sociales de la droite républicaine, les écologistes réalistes. Tous ceux qui n’aiment pas que triomphent les seules logiques d’appareil. Tous ceux qui en ont marre des sectaires d’un bord ou de l’autre.

Quand les décisions seront bonnes et courageuses, le pôle central soutiendra les orientations du gouvernement. Quand elles seront risquées, il le dira clairement. En toutes circonstances, il cherchera à influencer les décisions prises dans le sens du courage, du réalisme, et de l’attention à porter à la vie quotidienne. Il défendra une vision pour le pays, autant que le souci de la vie de tous les jours. Il sera humaniste, pas seulement dans les mots, mais dans les actes. Devant la crise, il défendra l’intérêt national et donc l’unité nationale.

Les candidats de ce pôle central qui auront signé une charte d’engagement se présenteront sous l’étiquette : "Le Centre pour la France". Ces candidats auront un mot d’ordre : "nous voulons être utiles à la France, pour qu’elle échappe à ses divisions". Ils ne seront pas les hommes et les femmes d’un camp, mais les hommes et les femmes d’un pays et d’un peuple.




 
 

S’ENGAGER POUR LE BON SENS

Aux problèmes quotidiens face auxquels de nombreuses personnes sont amenées à se battre. Il est essentiel que chaque citoyen se saisisse des questions politiques actuelles. Aux Français, plaidant pour l’effort et surtout pour l’espoir. S’inscrire dans la volonté forte de rassembler les français, d’apaiser les tensions qui menacent notre société, d’impulser la France conquérante. Et traiter les sujets et propositions et s’engager aux:

Affaires internes

Ø      La moralisation de la vie publique

Ø      Le redressement de nos finances publiques

Ø      La localisation de notre production, l’emploi, le commerce extérieur,

Ø      Les caractères régaliens : armées, sécurité, éducation, hébergement,  

Ø      Les dysfonctionnements, les aberrations, lourdeurs administratives

Ø      Modèle social

Ø       

Convergences

Ø      L’Europe, refonte l’architecture, protection des peuples

Ø      Services publiques et sécurité des territoires

Ø      Territoires comme acteur et personnalité morale

Ø       

Rayonnements

Ø      La coopération des territoires

Ø      L’International

Ø       

Quoi qu’il en soit l’architecture française nécessite d’être reconsidérer, comme l’espace des  circonscriptions ne veulent plus dire grand chose. A l’exemple des landers allemands, où demeurent des partenariats intéressants à faire à l’extérieur et hors frontières.

Un échiquier représentatif complet avec le mouvement démocrate à des fins de la composition d’un groupe parlementaire d’axe central, qui ne soit ni dans l’opposition systématique, ni dans l’acquiescement obligatoire. Des responsabilités qui  seront aptes à toutes revendications et feront des choix dans l’intérêt seul du pays. Le sens de l’engagement sous label : ‘’Centre pour la France’’






 

QUOI QU’IL EN SOIT

A en lire les symptômes de la situation en Grèce il y a, certainement dans cette société, dans le pouvoir grec et son organisation, des responsabilités établies. Il est parfaitement erroné de croire que le peuple grec soit responsable de ce qui lui arrive. Pourtant Il a été entraîné dans un aveuglement. Les élus-mandataires de cet Etat ont fait croire aux populations, qu'elles pouvaient continuer à vivre en empruntant sans limite. Ces mêmes mandataires ont agi dans le sens opposé de la réalité du bon père de famille. Malheureusement, la communauté grecque n’est pas le seul peuple d’avoir été ébloui par les promesses aléatoires et aveuglantes et d’une gestion prise à la légèreté. Il n'est pas le seul peuple en Europe a s’être fait mettre un bandeau sur les yeux, tout en vouant que l'on pouvait continuer à vivre en s'endettant. D'autres communautés nationales seront également à leurs rendez-vous avec des difficultés dues aux errances de leurs dirigeants. La souffrance indue des peuples et ce sont eux qui paient les pots cassés des crises que d'autres ont décidées à leurs places. Pour Athènes, les gouvernements grecs de gauche et de droite sont éminemment responsables de la situation.

De murs infranchissables seuls ceux créés de la main du genre humain le sont réellement par une opposition agressive décidée à faire perdre, alors c'est le pays qui va s'enfoncer dans le désarroi. Les lignes entre les sensibilités politiques sont perméables si la main tendue reçoit l’aval de son vis-à-vis pour une raison certaine, c'est que nous arriverons à nous sortir de la crise à la mesure, que si nous sommes en mesure de travailler ensemble entre Français dans la convergences, l’intérêt collectif et ainsi faire bouger les lignes.

La campagne électorale a traduit, dans un moment de crise profonde, le grand besoin de refondation du lien de confiance entre les citoyens et, le pouvoir mandaté qui gouverne les destinées du pays. Résoudre les problèmes qui se posent à nous dans le climat d’affrontement né depuis des années appelle à une démarche de réconciliation, c’est à dire, opter pour un langage de vérité avec l’approbation populaire. Il faudra construire dans l’action avec l’esprit d’unité nationale, dans le cas contraire, elle échouera. La responsabilité la plus importante du Président  est désormais d'agir dans cet esprit d’ouverture via cette unité nationale. D’où, à l'occasion des élections législatives des 10 et 17 juin, la nécessité de faire émerger et de structurer une force centrale d'équilibre.  Alors quel genre de député voulons-nous ? Des députés qui ne naviguent dans la complaisance, la facilité, l’opposition systématique, l’influence partisane…….. sans cesse à provoquer l’échec des gouvernants, des gens véritablement responsables des deniers publics et des perspectives françaises.

 
Si le parti du Président de la République répond au choix unité centrale par une attitude partisane. Si la volonté de François Hollande passe par le sectarisme, par les intérêts d'appareil, alors, la France ne s'en sortira pas. Le président de la République bénéficiera d’un court état de grâce politique, mais pas du point de vue économique et social. La rudesse de la crise sous ses différents aspects depuis la dernière guerre formatera le programme économique de François Hollande qui devra être entièrement repris ou en tout cas en profondeur, à la mesure de la crise, avec un exercice de vérité d'abord dans sa majorité. Il y va de notre modèle social et des services publics.

Entre le réel de l’opposition, où la Droite avait besoin d'alternance et la réalité de la situation, où la Gauche a besoin de découvrir le réel et de s’y confronter,  une force d'équilibre est indispensable avec un pays tout entier rassemblé et qui accepte les efforts avec des objectifs parfaitement définis.

Cette crise est, d’abord, celle des États surendettés de la zone euro. En finançant à crédit leur train de vie, en dépensant pour les besoins  courants et pas assez pour l’investissement, ces pays, et le nôtre, se sont placés dans une situation difficile pour l’instant, et sera invivable pour l’avenir. Des efforts seront à consentir par la contribution de la part de toutes les sources constituant la richesse nationale. A cela, des démarches de croissance seront étudiées et appliquées par les gouvernances de l’Union européenne. La gestion de la crise se faisant aussi par l’ensemble européen.

                              
               

REPRESENTATION A L ‘ASSEMBLEE NATIONALE

La représentation nationale passe par une meilleure prise en compte des courants politiques dépassant le seuil de 5 % des suffrages exprimés. Avec une répartition des députés élus à la proportionnelle pour une représentation plus juste. Le chiffre (200, 300 ou 400, ……. en lieu et place des 577 députés), de la représentation nationale dans l’hémicycle ne doit pas être construit uniquement sur des données comptables mais sur les réalités territoriales bases réelles, fondatrices de la politique d’investigation et pertinente de tous points de vue. Probablement faudrait-il réduire le nombre des représentants, la France étant un des pays dont sa représentation est surdimensionnée.  Réduire l’électorat des hémicycles solliciterait un énorme travail de fond dans le « redécoupage » électoral du paysage français tenant compte des spécificités, des potentialités, des singularités pluriels de ces dits territoires avec ses dimensions de terroirs..

La politique ne doit pas se faire à la notabilité ou notoriété de l’élu ou de sa position sur l’échiquier politicien. Mais sur la véracité projective de son engagement, de l’efficacité, de la crédibilité, de la probité de l’élu et des réalités territoriales. Prendre en compte, de reconnaître et de comptabiliser le vote blanc : des électeurs qui refusent de choisir l’un des candidats, ou qui sont en désaccord avec eux, doivent avoir un autre recours que celui de l’abstention et du vote en faveur de l’extrême droite ou de l’extrême gauche. La longévité de la députation dans l’hémicycle doit être revue et corrigée.

La triple « casquette » du député s’articule selon la relation de proximité et de sa délégation d’une mandature nationale : législateur, pouvoir d’Etat et acteur de terrain.  Cela confère une certaine confusion des genres et de l’efficacité réelle des ses actions. Son principal rôle consiste à relayer à l’Etat central l’ensemble de l’horizontalité de « son »  territoire d’éligibilité des faits constituants sa circonscription et, d’en impulser les paramètres probants et probables à son action de terrain, des bénéfices et de leurs conséquences. Son rôle d’arbitre en sa qualité de chambre parlementaire et de la questure au gouvernement lui laisse le choix du débat, faille-t-il pour cela sa totale réflexion dans ce contexte. Enfin, sa posture de législateur doit lui inciter la plus profonde pertinence dans la construction des textes de loi dont il a la charge de leur rédaction et dont il ne peut être juge et partie, d’acter dans l’exemplarité afin qu’il rende au mieux les services cohérents et humains des questions sociétales.   

MORALISER LA VIE PUBLIQUE FRANCAISE 

La politique ne doit pas souffrir d’une vision carriériste, mais elle doit être un engagement véritable, il doit s’agir d’une vocation. Retrouver une République honnête, transparente, exempte de tout conflit d’intérêt, de toute compromission et de toute soumission liée au pouvoir de l’argent ou toutes autres influences contraires définies à son contrat avec la nation. Les institutions et les représentants de la République se doivent d’être irréprochables. mettre en place des règles, des contrôles, plus de justice afin moraliser la vie publique française. Participer à l’élaboration d’un nouveau contrat démocratique. Réformer le pouvoir législatif sur le cumul des mandats ou mieux encore interdire le cumul des indemnités avec exigeant la participation des députés à l’Assemblée nationale (travaux et votations rendus publics), combattre l’absentéisme. Les conflits d’intérêt nécessitent d’être définis clairement pour tous les responsables politiques et les hauts fonctionnaires afin d’exiger l’obligation de déclaration publique des intérêts privés avant leur entrée en fonction. Tous les élus ayant été condamnés pour corruption doivent faire l’objet d’une interdiction d’un retour à la vie publique pendant dix ans. Cela aura pour but de dissuader les élus tentés par cette déviance et de rassurer les citoyens. Faire des efforts sur leurs avantages, le député ne devant pas être juge et partie pour s’octroyer des hausse de prestations.  La séparation des pouvoirs soit effective : les médias et la justice doivent réellement être indépendants. S’inscrire dans un rapport de confiance. Un élu de quelque soit le niveau d’exercice ayant fait défaut à sa mission ou à l’éthique, doit pouvoir être licencier des ses fonction et traduit devant une juridiction comme le serait tout justiciable. Acter pour un véritable code de déontologie !

COHABITATION OU PLEIN POUVOIR

La France d’aujourd’hui est particulièrement gérée à sa gauche : Régions, Départements, Sénat, Présidence, Gouvernement, …….  Les résultats des scrutins de la représentativité de l’Assemblée Nationale sera-t-elle de quelle couleur ? Allons-nous vers un plein pouvoir, une sorte de cohérence nationale mais face tôt ou tard à la société civile ou bien orientons-nous vers une cohabitation ?  Sachant que le fruit de l’élection présidentielle était perçu comme un moyen de « éliminer » le président sortant, un « vote utile » diront certains !

A peine l’UMP n’a eu le temps de digérer la défaite à la présidentielle qu’elle se tourne vers les échéances législatives de ce mois de juin. L’UMP rêve d’une victoire aux législatives, pourtant, la gauche serai favorite . Les barons de l’établissement UMP ont fixé un objectif simple, celui de provoquer la quatrième cohabitation de l’histoire de la 5e République. Une ex-ministre du Budget, a revendiqué "un état d'esprit extrêmement combatif", afin de galvaniser leurs troupes, et dit "reporter tout son espoir sur les législatives".  Il s’agit bien là d’une logique perturbatrice générant une cohabitation de blocage. Les Français peuvent ne pas vouloir donner tous pouvoirs à un seul parti politique. Considérer une Présidence de la République et un Sénat de Gauche, une Assemblée Nationale de Droite avec au milieux un gouvernement « cohabitationnel » et de penser à une redistribution des rôles dans l’idée d’une sorte d’unité nationale. Les Français ne veulent pas d'une opposition frontale et systématique pour la période qui s'ouvre".  Face à un régime de cohabitation, le président de la République se retrouverait à une opposition agressive et systématique. En ces temps particulièrement difficiles, comme l’environnement socio-économique nous le laisse présager, alors évidemment c'est un risque très important,  Cela est très inquiétant alors que le pays doit  se redresser. Alors la cohabitation sera-t-elle une chimère, une réalité ?

Alors que la période que nous vivons actuellement est caractérisée par une crise financière, économique, sociale et de confiance, et surtout humaine : les plus fragiles étant les premiers à en souffrir. Le monde s’est ouvert, le pays représente 1% de la population mondiale, les modèles changent, les codes se complexifient, ……., et aujourd’hui, notre pays souffre d’une véritable défiance envers le monde politique. bien : taux d’abstention élevé, montée en puissance des extrêmes, vote blancs, ……. Les Français apprécient les moments d’esprits républicains, ceci qui prouve qu’il existe dans notre pays d’aujourd’hui un grand besoin d’apaisement.

                            



LEGISLATIVE 2012

Sous la présidence de François HOLLANDE fraichement élu à la tête de l’Etat français,  le 06 mai 2012, la France s’apprête à renouveler sa représentation parlementaire à l’Assemblée Nationale.  Après cette délégation à la tête de l’Etat, le pays est de nouveau face à son cacique traditionnel, et à celui de la bipolarisation des pouvoirs politiques (voulue par le scrutin des urnes) inscrit dans le clivage Droite-Gauche où l’un gouverne et défait pendant que l’autre camp s’oppose. C’est une volonté toute française.

Les élections législatives se verront comme « le troisième tour » de l’élection présidentielle sous l’apostolat des désignations de nos futurs représentants à l’Assemblée Nationale. Ainsi, 6591 candidats se sont déclarés pour occuper les 577 postes à pourvoir dans cette célèbre Chambre. Nous rencontrerons en affiche, des postulants issus des partis traditionnels politiquement convaincus, nous trouvons aussi des opportunistes, des carriéristes qui n’ont d’ambitions qu’eux-mêmes, puis une panoplie des plus fantaisistes sur fond de notoriété occasionnelle. Ainsi va la démocratie ?!  Pour justifier de leurs posture, s’y retranchent les « Y a qu’a », « il faut qu’on », …….. vociférant leur dévolu avec forces et convictions ( à les croire) brandissant leurs solutions bénies d’intentions plus ou moins louables. 

Pour le Français, l’’élection présidentielle est clairement définie tant par le statut de la présidence que par les candidats postulants, un premier choix puis la nomination du futur chef de l’Etat. Il en va de même pour l’élection municipale Quant à l’élection législative, nous sommes plus dans l’inconnue à part quelques postulants réputés par le fait qu’il (elle) soit le/la député(e) sortant(e) ou par le fait de sa présence politique effective sur le territoire, d’autres postulants compétents œuvrant dans l’ombre mais seulement connus par des cercles d’initiés. Et puis, la grande valse des inconnus arrivant de partout et de nulle part avec la fleur au fusil et, s’en retourneront sitôt le spectacle terminé. Par ces gens-là, n’ayant que trop peu de références avec l’électorat, mais naviguant sur l’actualité du moment, risquent l’éparpillement des voix.

Du rapport humain, rien ne surprend de constater que surgissent les traitrises, les manigances, les alliances, et même des listes noires de postulants qu’il faut abattre, des personnalités sortantes. On apprend que les partis extrêmes les fronts (F.de Gauche et F. National)  à un haut niveau entendent bien jouer les trouble-fêtes lors du scrutin législatif. D’abord pour obtenir des élus à l’Assemblée nationale. Ceci est louable de cette représentativité. Avec un Front national à un haut niveau, cela signifie gêner l’UMP dans la perspective du second tour, et d’en provoquer l’imploser. Un Front National qui se place au centre d’une recomposition de la droite. Puis de l’autre côté de l’échiquier, un Front de Gauche faiseur de troubles jouant du même acabit avec ses amis-ennemis socialistes. Ceci laisse à penser à des résultats menant sans doute beaucoup de triangulaires avec des alliances et/ou des soutiens à contre-nature. S’agit-il d’accéder à l'entrée au Palais Bourbon pour la promotion de leurs idéaux, s'agit "d'une logique de vengeance", ou de toutes autres aspirations, ……… ? Rendent-ils service à la France ?